Toutankhamon enfant Bienvenue chez Pascal Guillas
Cartouche de Pascal Guillas
Percez le secret (traduisez moi)des hiéroglyphes !

Découvrez les hiéroglyphes

  1. Principe des hiéroglyphes
  2. Sens de lecture
  3. Phonétique
  4. Grammaire
  5. Le traducteur de hiéroglyphes !
  6. Exercices de traductions
  7. Table des unilitères en couleurs ou  simplifiés
  8. Table des bilitères en couleurs ou simplifiés
  9. Table des trilitères en couleurs ou simplifiés
  10. Table de Hiéroglyphes en couleurs
  11. Les nombres
  12. Un éditeur de hiéroglyphes !
  13. Les Pharaons (avec leurs cartouches !)
  14. Les dieux égyptiens (avec des photos pour certaines des 102 divinités !)
  15. Dictionnaire
  16. Polices de caractères
  17. Bibliographie
  18. D'autres sites.
  19. On parle de mon site dans les médias.
 
 
 
 
 
 
 

Principe des hiéroglyphes

Utilisés par les Egyptiens pendant 3 millénaires, les hiéroglyphes - écrits sacrés - étaient basés sur le principe du rébus. Ainsi, on peut lire un mot hiéroglyphique de la façon suivante : mon premier est un véhicule, mon second est un oiseau diurne. Cette première partie du rébus a pour but de faire deviner les syllabes du mot à découvrir. Il s'agit d'une suite de sons sans sens ni lien commun : c'est la valeur phonétique du mot. En fin du rébus, on termine en général par une formule du type : mon tout est un mamifère : on donne alors un indice sur le sens du mot recherché : c'est la valeur sémantique du mot.
La valeur phonétique
Elle est constituée de phonèmes ou phonogrammes. Ceux-ci sont rangés en trois classes, selon qu'ils valent 1, 2 ou 3 sons : les unilitères (originaux en couleurs ou simplifiés), les bilitères (originaux en couleurs ou simplifiés) et les trilitères (originaux en couleurs ou simplifiés) : ils constituent l'alphabet des hiéroglyphes. Ne vous étonnez pas de voir beaucoup de consonnes : les Egyptiens n'écrivaient pas les voyelles ! On en rajoute cependant pour des commodités de lecture.
La valeur sémantique
Elle peut être simplement représentée par un hiéroglyphe proprement dit ou idéogramme, dont l'image donne l'idée même du mot.
Cependant, la langue étant composée exclusivement de consonnes, il arrive fréquemment que deux mots se prononcent de la même façon (homonymes). Ils sont alors différenciés par des déterminatifs. Ces signes, qui ne se prononcent pas, sont très utiles ne serait-ce que pour marquer la fin des mots car, pour ne pas nous faciliter la lecture, les Egyptiens n'ont pas trouvé utile de ponctuer leurs textes.

Sens de lecture

Il n'est pas unique, mais se déduit de l'orientation des hiéroglyphes : pour le découvrir, repérez les symboles d'animaux, le sens de lecture se fait face à eux.
Exemples :
 
horizontalement sens lecture 1 de gauche à droite et de haut en bas 
sens lecture 2 ou de droite à gauche toujours de haut en bas,
verticalement sens lecture 4 de haut en bas et de gauche à droite
sens lecture 3 ou, toujours de haut en bas de droite à gauche.
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(dernière mise à jour le 2 janvier 2007)
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